Philosophie
La vérité
Introduction :
On le peut remarqué ce mot utilisé dans différent cas mais pour la plupart, ce terme est utilisé pour dire pour dire : " c’est vrai ", " c’est faux ", " c’est un mensonge ", " c’est la vérité "
I). Vérité et réalité.
Le langage confond souvent ces deux termes : la vérité est une valeur qui concerne le jugement et donc le langage ; ce qui peut être vrai ou faux, c’est l’affirmation.
Dans certains cas, le langage semble attribué la vérité et la fausseté à un objet par exemple quand nous disons que cette art est fausse ou que cette de la fausse monnaie, on signaler que les deux sont de l’art véritable dans les deux cas mais qu’elle n’est pas authentique – on peut signaler que ces objets sont accord avec certaines propriété que nous attribuons a ses objet quand nous y pensons.
La vérité et la fausseté ne peuvent être attribué qu’a des jugement qui s’expriment dans le langages ; il faut donc éviter de confondre vérité et réalité. Il faut établir s’il faut des critères de la vérité.
II).Les critère de la vérité
1). La Vérité est-ce la copie de la réalité
On considère qu’une idée est vrai, un jugement vrai est une idée ou un jugement qui est conforme à la réalité. La vérité ne peut être ne peut être établie que par la concordance des témoignages avec les faits supposés et aussi –par la convergence des témoignages entre eux ; les enquêteurs savent bien que les témoins d’un crime peuvent reconstruire les faits et donner l’illusion de la vérité grâce à la cohérence de leurs affirmations
D’autre part les affirmations n’a de sens que si l’on fait référence à des hypothèses et des théories scientifiques précises. Il nous faut chercher un autre critère de la vérité que la simple conformité de la pensée à la réalité.
2). La vérité et l ‘évidence
Il pourrait que la vérité se reconnaisse par elle-même c’est-à-dire qu’il lui appartiennent à en propre, sans avoir besoin de faire référence à une réalité extérieure à elle. Selon Descartes qui a conduit à la découverte du texte " Je pense " qui examine les préceptes de la raison qui peuvent conduire à la vérité. Il présente deux critère fondamentaux de la vérité ; la clarté et la distinction.
- La clarté ; une idée claire est un e idée évidente, autrement dit tous les éléments qui la composent sont présents à l’esprit. Le contraire de la clarté est l’obscurité.
- -La distinction ; une idée distincte est une idée qui offre à la pensée que ce qui lui appartient en propre, à l’exclusion de ce qui appartient à d’autre, ce qui permet donc de la distinguer des autres. Le contraire de la distinction est la confusion.
Les sources d’erreur ; la précipitation quand nous voulons aller trop vite conduit à admettre comme évidente des idées encore obscure ; la prévention autrement dit les préjugés risque de nous conduire à la confusion entre plusieurs idées qui devrait pourtant être distinguées.
La raison, l’expérience et la connaissance, ces critère logiques permettent d’établir la cohérence de la pensée avec elle-même e ; elle sont essentielle mais insuffisantes car les émotions et les sentiments très fort peuvent nous faire croire que l’on possède une idée claire et distincte mais certaines conceptions sont rejeté au nom de l’évidence. Il ne faut pas oublié que les déduction purement rationnelles ont besoin de se confronter à l’expérience, de même la vérité se présente sous deux aspects ; la vérité formelle et la vérité matérielle ou expérimentale.
3). Vérité formelle et vérité matérielle
Demandons-nos si la vérité est la simple copie de la réalité ; il est nécessaire de faire référence à une théorie déjà constitué, cohérente puis de vérifier que cette affirmation est compatible avec certaines observations, il faut expliquer pourquoi on voit l’inverse.
On peut distinguer une vérité formelle qui consiste simplement dans l’accord de la raison avec ses propre exigence et une vérité matérielle qui affirme l’accord entre ce que l’on dit et la réalité. Il est facile de remarquer que certaine science s’appuie sur la vérité formelle ; la logique, les mathématiques alors que les sciences expérimentales s’appuis sur des sciences(physique, biologie, chimie , science humaines) qui font appel à ses deux espèce de vérité.
La vérité consiste principalement dans la construction d’un système cohérent de jugement non contradictoire entre eux et en principe vérifiables dans la réalités.
III).Vérité, erreur, mensonge
On a vu que le fait d’établir des critère de la vérité du même coup d’établir les critères de l’erreur. Voici les sources d’erreur que l’on a rencontré ; comme se fier aux données des sens et de l’imagination sans les soumettre à la critique de la raison, la précipitation (aller trop vite), s’appuyer sur des préjugés(la prévention). Dans tous ces cas nous avons considéré l’esprit comme victime. Dans le domaine de la connaissance, le mensonge affirme volontairement le faux. Nous somme dans un autre domaine de recherche de la connaissances ; celui qui ment vise un but pratique lié à son intérêt, à son plaisir, à une passion ou même un but lié à la défense des intérêts d’autrui. Car celui qui se ment à lui –même était coupé en deux entre un moi qui connaît et un moi qui désire autre chose que la vérité.
IV). Vérité relative et vérité absolue
Conclusion :