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Catégorie : Bourses
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La société BP, anciennement nommée Anglo-Persian Oil Company (APOC-1909), puis Anglo-Iranian Oil Company (AIOC-1935), puis British Petroleum Company (BP-1954), puis BPAmoco (2001), est une compagnie britannique de recherche, d'extraction, de raffinage et de vente de pétrole fondée en 1909.

Après sa fusion avec Amoco, Atlantic Richfield (Arco) et Burmah Castrol, elle est devenue la plus grande société du Royaume-Uni et la troisième compagnie pétrolière mondiale. La division BP de Londres est évaluée à environ cinquante milliards de dollars (environ trente-neuf milliards d'euros). Internationalement, BP est présente dans plus de cent pays et emploie environ 79 700 personnes en 2010.

Depuis 2010, l'image de l'entreprise a souffert de la mauvaise publicité due à l'explosion de l'une de ses plates-formes pétrolières, Deepwater Horizon, considérée comme l'une des plus importantes catastrophes écologiques liées à l'exploitation du pétrole de l'histoire, et qui lui a valu une amende record de 4,5 milliards de dollars (janvier 20132). Néanmoins, la même année, malgré une perte de bénéfices, elle affichait un chiffre d'affaires de 308,928 milliards de dollars US, la classant au 4e rang des plus grandes entreprises mondiales selon leur chiffre d'affaires.

Histoire

1909-1955

Article détaillé : Anglo-Iranian Oil Company.

En mai 1901, William Knox D'Arcy se fait accorder une concession par le shah de Perse aux fins de découvrir du pétrole, qu'il finit par trouver en mai 1908. C'est la première découverte commercialement significative au Moyen-Orient. En 1909, la Anglo-Persian Oil Company est créée afin d'exploiter ce gisement.

La compagnie se développe doucement jusqu'à la Première Guerre mondiale lorsque son importance stratégique incite le gouvernement britannique à l'acquérir et devenir l'actionnaire majoritaire de la compagnie qui devient ainsi la source d'approvisionnement principale de la marine royale durant le conflit mondial. En 1917, la guerre permet au gouvernement de prendre le pas sur la Europäische Petroleum-Union qui utilisait la marque British Petroleum. La guerre achevée, la compagnie, dont 51 % des parts appartiennent désormais au gouvernement britannique, investit dans d'autres gisements dans le monde. Mais son souci principal reste en Perse et, après l'accord britannico-perse de 1919, la compagnie peut continuer de commercer profitablement avec ce pays.

Après la prise de pouvoir par Reza Chah, ce dernier cherche à renégocier le contrat liant l'APOC au pétrole persan. Après quelque tensions entre le Royaume-Uni et la Perse, un nouveau traité est signé, accordant de meilleurs revenus au gouvernement iranien, mais encore bien en dessous des espérances. L'Anglo-Persian Oil Co. devient l'Anglo-Iranian en 1935, et contrôle l'ensemble du cycle pétrolier, le montant des royalties versées à l'Iran est fixé à Londres.

Articles connexes : Industrie pétrolière en Iran et Chronologie de la nationalisation de l'industrie pétrolière iranienne.

À la fin des années 1940, le débat sur les revenus du pétrole iranien perçus par le gouvernement est relancé, les États-Unis ayant signé des contrats pétroliers avec l'Arabie Saoudite prévoyant une répartition des bénéfices 50/50 entre les deux pays, là où l'AIOC n'octroie que 20 % à 25 % de ses revenus au gouvernement iranien. Le 1er mai 1951, sous le gouvernement du premier ministre Mohammad Mossadegh, le pétrole iranien est nationalisé et la National Iranian Oil Company (NIOC) est fondée, se voulant une alternative nationale à l'AIOC. Mais les Britanniques refusent de perdre l'AIOC et portent plainte devant le tribunal de La Haye puis devant le conseil de sécurité de l'ONU ; les deux se déclarent incompétents. Le gouvernement de Mossadegh refusant de renégocier la nationalisation, les Britanniques imposent un blocus sur le pétrole iranien.

Article connexe : Opération Ajax.

Après le renversement de Mossadegh lors du coup d'état de 1953 mené par le général Zahedi, un consortium de firmes pétrolières est créé. La NIOC existe toujours, mais ne peut vendre son pétrole qu'au consortium qui inclut de nombreuses compagnies de plusieurs pays dont l'Anglo-Iranian Oil Company. Le contrat de vente avec le consortium est signé en 1954 par le gouvernement iranien qui perçoit désormais 50 % des bénéfices. L'AIOC est renommée British Petroleum Company, dit BP, en 1955. Supposé se terminer en 1979, le consortium est abrogé la même année et la totalité de l'industrie pétrolière iranienne nationalisée de nouveau à la suite de la Révolution Islamique.

Entre 1960 et 1979

Entre 1980 et 1999

En 1987, British Petroleum acquiert Britoil ainsi que les parts de la Standard Oil of Ohio (Sohio) qui lui manquaient. En 1994, BP et Petroleos de Venezuela SA (PDVSA) ont commencé la commercialisation de l'Orimulsion, un carburant tiré du bitume.

XXIe siècle

Dépôt d'hydrocarbure GDH (filiale de BP) à Frontignan (Hérault, France).

En 2000, BP acquiert Arco ainsi que Burmah Castrol. En 2001, elle fusionne avec Amoco (anciennement Standard Oil of Indiana) et devient BPAmoco. En 2002, BPAmoco est renommée BP, sans qu'aucun sens précis ne soit donné aux deux lettres. En 2003, BP Allemagne rachète le réseau de station-service Aral. En 2005, la branche pétrochimie est séparée sous le nom d'Innovene (du nom de son procédé développé en 1993 pour la fabrique du polypropylène), puis est achetée par Ineos.

À la fois sous couvert d'éco-responsabilité et pour améliorer son image, la société investit depuis quelques années dans l'énergie solaire.

BPAmoco est formée en 2001 par ce qui a été officiellement décrit comme la fusion de British Petroleum et d'Amoco pour éviter toute concurrence. Cependant, après un an d'opérations communes, les deux géants regroupent la plupart des opérations et se renomment BP.

Dans les faits, l'événement est un changement et la compagnie retient le nom de British Petroleum. Mais, en 2002, il devient de manière officielle BP, dont les lettres ne signifient officiellement plus rien. BP acquiert également Arco en même temps qu'elle fusionne avec Amoco. Arco était anciennement l'Atlantic Richfield Oil Company. Auparavant, au milieu des années 1970, British Petroleum avait acquis la Standard Oil of Ohio ou Sohio.

La plupart des stations-service d'Amoco, aux États-Unis, sont en cours de rhabillage et portent progressivement le nom de BP. Toutefois, dans certains États, les bâtiments et les pompes sont remplacés par le design BP mais l'enseigne reste Amoco.

Les stations Arco pourraient bientôt être nommées BP, mais conservent leur autonomie. Arco est également attachée aux magasins de proximité AMPM qui ont ainsi été également acquis par BP.

En mai 2007, BP signe un contrat de neuf cents millions USD avec la Libye pour l'exploration et l'exploitation du gaz naturel présent dans ce pays3,4.

En avril 2009, le président Evo Morales nationalise les filiales du groupe BP présentes sur le territoire bolivien.

En 2010, la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP, explose, donnant lieu à une des plus grandes catastrophes environnementales liée au pétrole. En juillet 2010, elle cède une partie de ses activités à Apache Corporation pour la somme de sept milliards USD5. En août 2010, elle vend ses « activités d'exploration » en Colombie à Ecopetrol et à Talisman Energy pour 1,9 milliard USD6.

En 2012, Rosneft annonce le rachat de TNK-BP pour 61 milliards de $. BP passe ainsi sa participation de 1,25 % à 19,75 % dans Rosneft et reçoit 12,3 milliards de $. Le consortium AAR reçoit lui vingt-huit milliards de $ en numéraire7.

En novembre 2012, le gouvernement fédéral américain exclut BP « de toute nouvelle attribution de contrats fédéraux en invoquant son « manque d’intégrité » lors de la marée noire de 2010 dans le golfe du Mexique »8.

Le 16 janvier 2013 au matin, la base de vie du site d'exploitation coexploitée par BP, Statoil et Sonatrach située sur le site gazier de Tiguentourine (à 45 km à l'ouest d'In Amenas en Algérie) est attaquée par des Islamistes se revendiquant du nord du Mali qui prennent en otages une quarantaine d'employés occidentaux de nationalités diverses et font deux morts9. Cette action, qui se déroule dans le contexte du conflit malien de 2012-2013 et de l'opération Serval menée par la France depuis le 11 janvier, est plus tard revendiquée par des membres de la brigade Al-Mouthalimin. La brigade se réclame de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, un ancien chef local d'Aqmi et auparavant du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC)10.

Article détaillé : Prise d'otages d'In Amenas.

En juin 2014, BP signe un contrat de vente de gaz naturel liquéfié sur vingt ans, d'un montant de vingt milliards de dollars, avec l'entreprise chinoise CNOOC11. En août 2014, BP rachète12 au distributeur canadien Couche-Tard l'entreprise Statoil Fuel & Retail (SFR), société de distribution de carburants pour l'aviation en Scandinavie13.

En octobre 2015, Kinder Morgan acquiert quinze sites de stockages d'hydrocarbures de BP aux États-Unis pour 350 millions de dollars. BP gardant une participation de 25 % dans ces 14 de ces sites14. Au total, BP a cédé en 2015 pour dix milliards de dollars d'actifs, ce qui porte ses cessions à près de cinquante milliards de dollars depuis la marée noire de 2010 dans le golfe du Mexique15. En janvier 2016, BP annonce la suppression de quatre mille emplois dans sa branche dédiée à la production d'hydrocarbures16.

En février 2016, la compagnie annonce le début de la production de gaz dans les champs du Sud de l'Algérie faisant partie du projet « In Salah Gaz ». Ce projet est une association entre la société algérienne Sonatrach, BP et la compagnie pétrolière norvégienne Statoil. Le site est constitué de sept champs qui sont conjointement exploités par les trois partenaires. Le site est la cible d'une attaque à la roquette un mois plus tard — le 18 mars 2016 — laquelle ne fait aucune victime17.

Fin mars 2016, BP et Kowait Petroleum Corporation (KPC) annoncent avoir signé un accord cadre afin d'étudier d'éventuelles possibilités conjointes d'investissement et de coopération dans l'avenir du pétrole, du gaz, du commerce et de la pétrochimie18.

En juin 2016, BP annonce la fusion de ses activités norvégiennes avec Det norske pour créer un nouvel ensemble appelé « Aker BP » dans lequel BP doit avoir une participation de 40 %19.

En septembre 2016 une enquête de l'ONG Public eye révèle que des traders suisses profitent des normes en vigueur dans certains pays d'Afrique20 pour y écouler depuis trente ans du carburant toxique. Selon The Guardian, BP a ainsi exporté du diesel à très haute teneur en soufre au Ghana21.

En décembre 2016, BP acquiert des participations dans des gisements de gaz au large de la Mauritanie et du Sénégal, ainsi qu'à Abu Dhabi pour un total de 3,4 milliards de dollars22. Le même mois, BP annonce l'acquisition de cinq cents stations d'essences en Australie à Woolworths pour 1,3 milliard de dollars australiens23. En janvier 2017, BP vend la moitié de sa participation de 50 % dans le champ pétrolier Magnus situé en mer du Nord à EnQuest24.

Accidents industriels

Texas en 2005

Le 23 mars 2005, une raffinerie exploitée par BP à Texas City explose, faisant 15 morts et 170 blessés25. À la suite de ces évènements, la raffinerie continue de présenter un risque pour les personnes qui y travaillent26.

Alaska en 2006

Entre les 2 et 11 mars 2006, la fuite d'un oléoduc d'une exploitation pétrolifère à Prudhoe Bay, en Alaska, répand entre 760 000 et un million de barils de pétrole brut dans la toundra27. Selon BP, cette fuite est due à la corrosion de l'oléoduc. Quelques mois plus tard, une nouvelle fuite de quelques barils contraint BP à fermer temporairement cette exploitation, le temps de remplacer une partie des tuyaux. Cette décision, dans une période où la production pétrolière mondiale est marquée par l'instabilité politique au Moyen-Orient et au Nigeria, a des conséquences économiques importantes, puisqu'elle implique une réduction de 8 % de la production américaine de pétrole, le site produisant 400 000 barils de pétrole par jour (sur une production totale de 4,9 millions de barils par jour). Le prix du baril de pétrole brut en subit les répercussions28,29.

Golfe du Mexique en 2010

Article détaillé : Explosion de Deepwater Horizon.
Plate-forme Deepwater Horizon en avril 2010.

Le 20 avril 2010 dans le golfe du Mexique, la plate-forme Deepwater Horizon explose, générant dans un premier temps un incendie puis une marée noire sans précédent, qui change la politique américaine sur les assurances en cas de catastrophe. Cette marée noire pourrait devenir la plus dévastatrice et la plus grosse catastrophe écologique de l'histoire des États-Unis.

Quelques semaines plus tard, l'oléoduc trans-Alaska, détenu en partie par la firme, est fermé à la suite d'une fuite de plusieurs milliers de barils de pétrole brut à environ 150 km au sud de Fairbanks30.

Le 15 novembre 2012, BP est condamné à verser 4,5 milliards de dollars de dommages et intérêts au gouvernement américain31.

Le 2 juillet 2015, BP accepte de payer au Gouvernement fédéral et aux États touchés par la marée noire de Deepwater Horizon, 18,7 milliards de dollars (16,8 milliards d’euros) pour solde de tout compte (le versement sera étalé sur une période de quinze à dix-huit ans). Cette amende — sans précédent aux États-Unis — s’ajoute aux indemnités déjà versées aux victimes, au coût colossal du colmatage du puits et aux frais de dépollution, que le groupe a pu payer grâce à la vente de quarante-cinq milliards de dollars d’actifs32.

Afrique

BP et d'autres groupes pétroliers possédant des forages au Nigeria, sont accusés de contribuer aux nombreuses marées noires occasionnées dans le delta du Niger, dont le nombre est estimé à plus de 300 par an (plus de 7 000 ont été officiellement recensées par les autorités nigérianes entre 1970 et 2000, sur plus de 2 000 grands sites de pollution), pour une quantité totale de pétrole brut de 1,5 million de tonnes en un demi-siècle (soit dix à quinze millions de barils). Ces firmes sont également accusées de bloquer la législation dans ce pays et de violer les droits de l'homme33.

Direction de l'entreprise

Le directeur général de la société BP, John Browne, a démissionné le 1er mai 2007 après avoir perdu un procès contre la presse concernant des révélations sur sa vie privée. John Browne dirigeait BP depuis 1995 et son départ était prévu pour juillet 2007. Cette démission fait perdre à John Browne un bonus de 3,5 millions de livres (5,1 millions d'euros).

Tony Hayward (en) est nommé nouveau directeur général avec effet immédiat. À la suite de l'accident de Deepwater Horizon en avril 2010, Bob Dudley prend la direction générale de BP le 27 juillet de la même année34.

Conseil de surveillance

Représentants des actionnaires

Représentants des salariés

Conseil d'administration

Comité exécutif

Données financières

Données financières en millions de dollars US37,38
Années 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2012 2013 2014
Chiffre d'affaires 180 186 236 045 294 849 249 465 265 906

239 270
388 074 396 217 358 678
Résultat d'exploitation 22 941 28 200 37 825 41 453 44 835






Résultat net part du groupe 6 845 10 267 15 961 22 341 22 000

16 580



Dettes financières 20 273 20 193 21 607 16 202 16 202






Données boursières

Actionnariat

BP Ultimate

Si BP Ultimate 98 et BP Ultimate Diesel permettent des réductions d’émissions importantes par rapport aux essences Eurograde standard (-11,6 % en moyenne de monoxyde de carbone, -3,3 % en moyenne d'oxydes d'azote, -6,6 % en moyenne d'hydrocarbures imbrûlés et -2,8 % en moyenne de CO2 pour l'Ultimate 9839), on ne sait toujours pas comment l'entreprise parvient à obtenir ce résultat, car la composition de ces deux carburants est tenue secrète.

Notes et références

  1. a et b (en) [1] [archive]
  2. « Marée noire : déjà 12 milliards de facture judiciaire pour BP » [archive], Le Figaro, 30 janvier 2013.
  3. (en) International Petroleum Finance, « Mixed fortunes for BP in Libya and Russia », Gale,‎ 1er juin 2007 (lire en ligne [archive])
  4. (en) Kitty Donaldson et Robert Hutton, « Blair announces BP's return to Libya after three decades », The New York Times,‎ 29 mai 2007 (lire en ligne [archive])
  5. BP cède 7 milliards de dollars d'actifs à son concurrent américain Apache [archive], France 24, 20 juillet 2010.
  6. La Presse canadienne, « Talisman achète des actifs de BP en Colombie », Le Devoir,‎ 4 août 2010 (lire en ligne [archive])
  7. Lire en ligne [archive], Le Monde
  8. Agence France-Presse, « De marée noire à liste noire : Le gouvernement américain écarte BP des contrats fédéraux », Le Devoir,‎ 29 novembre 2012 (lire en ligne [archive])
  9. Prise d'otage sur un site pétrolier BP en Algérie [archive], Libération, 16 janvier 2013.
  10. (en) Two killed after militants take western contractors hostage in Algeria raid [archive], The Guardian, 16 janvier 2013.
  11. BP to sign $20 billion LNG supply deal with China's CNOOC [archive], Reuters, 17 juin 2014
  12. Pour un montant non communiqué.
  13. BP buys Scandinavian jet fuel business [archive], Reuters, 3 septembre 2014
  14. Kinder Morgan, BP form fuel storage JV [archive], Reuters, 20 octobre 2015
  15. Claude Fouquet, BP réduit ses investissements et va poursuivre ses cessions d'actifs [archive], Les Échos, 27 octobre 2015 (consulté le 27 octobre 2015)
  16. BP annonce la suppression de 4000 postes dans la production pétrolière [archive], L'Usine nouvelle, 12 janvier 2016.
  17. « Site gazier de Krechba : Le personnel de Sonatrach continue à assurer la production et l'exploitation » [archive], sur euro-petrole.com (consulté le 24 mars 2016).
  18. « Synthèse de l'actualité du pétrole et du gaz semaine du 28 mars au 3 avril 2016 » [archive], sur euro-petrole.com (consulté le 6 avril 2016).
  19. Henrik Stolen et Karolin Schaps, « BP and Det norske agree $1.3 billion Norwegian oil merger » [archive], sur reuters.com, 10 juin 2016.
  20. « Les traders suisses accusés de déverser de l’essence sale en Afrique », Le Temps,‎ 15 septembre 2016 (lire en ligne [archive])
  21. (en) Alice Ross, « Trafigura, Vitol and BP exporting dirty diesel to Africa, says Swiss NGO », The Guardian,‎ 15 septembre 2016 (lire en ligne [archive])
  22. BP splashes out on deals to beef up oil, gas reserves [archive], Reuters, 19 décembre 2016
  23. Australie: BP acquiert 500 stations-service [archive], Le Figaro, 28 décembre 2016
  24. North Sea specialist EnQuest buys stake in BP's Magnus oil field [archive], Karolin Schaps , Reuters, 24 janvier 2017
  25. (en) Click2Houston.com, « 14 Die in Massive Explosion at Texas City Refinery », Click2Houston.com,‎ 23 mars 2005 (lire en ligne [archive])
  26. (en) BP Texas City Refinery Blast Victim: BP Keeps 'Killing People' [archive], ABC News, 10 juillet 2010
  27. « Le climat freine la récupération du pétrole en Alaska », Actualités News Environnement,‎ 16 mars 2006 (lire en ligne [archive])
  28. François Desjardins, « Une fuite en Alaska fait bondir le prix du brut », Le Devoir,‎ 8 août 2006 (lire en ligne [archive])
  29. Colette Thomas, « BP broie du noir », RFI,‎ 8 août 2006 (lire en ligne [archive])
  30. « Fuite de pétrole sur un oléoduc détenu par BP en Alaska » [archive], Reuters, 26 mai 2010
  31. « Marée noire : amende record de 4,5 milliards pour BP », Le Figaro,‎ 15 novembre 2012 (lire en ligne [archive])
  32. Jean-Michel Bezat, Cinq ans après Deepwater, BP essaye de rester en selle [archive], Le Monde, 3 juillet 2015.
  33. John Vidal, « Les marées noires oubliées du delta du Niger », Courrier international (d'après The Guardian),‎ 3 juin 2010 (lire en ligne [archive])
  34. (en) New BP CEO says hopes to restore dividend in 2011 [archive], Reuters, 30 septembre 2010
  35. a et b BP, « Structures de direction de BP » [archive].
  36. a et b BP, « Le board de BP »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  37. Fiche BP - 2002 à 2006 [archive], sur opesc.org
  38. The Global 2000 [archive], sur forbes.com, 21 avril 2010, consulté le 3 avril 2012.
  39. Wilfried Bousquet, La vérité sur les nouveaux supercarburants [archive], Caradisiac.com, 12 juillet 2005

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Notices d'autorité
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