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Catégorie : Films
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Bande-Annonce - 1977 - L'Espion qui m'aimait

 

 

Musique - L'Espion Qui M'Aimait

L'Espion qui m'aimait
Description de l'image The spy who loved me game.svg.
Données clés
Titre original The Spy Who Loved Me
Réalisation Lewis Gilbert
Scénario Christopher Wood
Richard Maibaum
Acteurs principaux

Roger Moore
Barbara Bach
Curd Jürgens
Richard Kiel
Caroline Munro

Sociétés de production EON Productions
Danjaq
Pays d’origine Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre Espionnage
Durée 126 minutes
Sortie 1977

Série

L'Homme au pistolet d'or
(1974)
Moonraker

 

L'Espion qui m'aimait (The Spy Who Loved Me) est un film britannique réalisé par Lewis Gilbert et sorti en 1977. C'est le 10e opus de la série des films de James Bond produite EON ProductionsRoger Moore y incarne James Bond pour la troisième fois.

L'Espion qui m'aimait est l'adaptation cinématographique du roman Motel 007 (The Spy Who Loved Me) de Ian Fleming paru en 1962. Le film ne reprend cependant que très peu d'éléments du roman.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Pour retrouver des sous-marins nucléaires russe et britannique qui ont mystérieusement disparu, James Bond fait équipe avec l'agent soviétique Anya Amasova. Leur mission les conduit à affronter un ennemi redoutable, Requin, un géant de près de deux mètres vingt quasiment indestructible et armé d'une mâchoire en acier aussi coupante qu'un rasoir. 007 devra également affronter Karl Stromberg, l'employeur de Requin. Stromberg veut se servir des sous-marins nucléaires qu'il a volés pour détruire le monde et créer une cité sous-marine.

Résumé détaillé[modifier | modifier le code]

Un sous-marin britannique et un sous-marin soviétique disparaissent. Le général Gogol envoie son meilleur agent, le Major Anya Amasova alias XXX afin d'enquêter. James Bond, quant à lui, est poursuivi par quatre skieurs soviétiques. Il arrive à s'enfuir en tuant l'un d'entre eux et en sautant en parachute dans une vallée. À Moscou, Gogol apprend à Amasova que son amant a été tué lors d'une opération, elle accepte toutefois la mission. Afin d'enquêter sur la disparition des sous-marins, M envoie Bond au Caire.

Quelque part en Mer Méditerranée, deux scientifiques qui ont développé un appareil de pistage de sous-marins sont assassinés par un certain Karl Stromberg, lequel vit dans l’Atlantis, sa demeure « sous-marine ». Ce dernier démontre également sa cruauté en jetant sans pitié l'une de ses assistantes, supposée l'avoir trahi, dans un bassin où se trouve un requin tigre. La jeune femme meurt dévorée par le squale. Il ordonne ensuite à deux assassins, Sandor et Requin aux mâchoires en acier d'aller en Égypte afin de retrouver le dispositif de pistage et de tuer quiconque se révèlera dérangeant.

Au Caire, Bond se rend chez Fekkesh, un homme d'affaires qui voudrait vendre le dispositif en question. Accueilli par sa belle secrétaire, Felicca, il commence à l'embrasser. Il rencontre alors Sandor, qui tue Felicca, et échange un combat avec lui. Bond le force alors à révéler où se trouve Fekkesh puis le lâche dans le vide. Bond se rend ensuite à Gizeh où il voit que XXX a déjà retrouvé l'homme. Bond le trouve mort, tué par Requin. Bond et Amasova font équipe afin de persuader un certain Max Kalba au Caire de leur rendre un microfilm qui contient les informations sur le dispositif de pistage. Cependant, Requin assassine Kalba et récupère le microfilm. Bond et Amasova réussissent à entrer dans le van de Requin alors que celui-ci est conscient qu'ils sont à l'arrière.

Le lendemain matin, les deux agents réussissent à récupérer le microfilm et à échapper à Requin. Sur le Nil, Bond examine le microfilm mais il est vite rendu inconscient par le Major qui dérobe le microfilm. Bond finit par la retrouver en présence de Gogol et de M. Grâce à Q, ils pensent que Karl Stromberg est impliqué. Bond et Amasova se rendent alors en Sardaigne par train où ils sont à nouveau confrontés à Requin. Ils l'affrontent à nouveau mais celui-ci s'en sort à nouveau indemne.

La Lotus Esprit amphibie, icône du film

Arrivés en Sardaigne, ils récupèrent une Lotus Esprit et rencontrent la secrétaire de Stromberg, la jolie Naomi, qui les mène à l’Atlantis. Bond apprend que Stromberg rêve d'une cité sous-marine, espoir du futur de l'humanité. Bond et Anya repartent mais sont bientôt poursuivis par Requin et d'autres sbires de Stromberg, le millionnaire ayant compris à qui il avait à faire. Bien que son véhicule ait un accident, Requin survit à nouveau. Naomi tente alors de tuer les deux espions avec un hélicoptère. Bond profite des fonctionnalités de sa voiture pour la convertir en sous-marin et être invisible de l'hélicoptère sous l'eau. Alors que Naomi pensait avoir tué les deux espions, Bond explose l'hélicoptère avec un missile, tuant au passage la jeune femme, et regagne la plage, à la suite d'un affrontement avec des plongeurs. Ils retournent ensuite à l'hôtel, où Amasova apprend que son amant a été tué par Bond, qui ne faisait que se défendre. Cependant, Anya jure de le venger s'ils sont en vie à la fin de la mission.

Malgré ces dernières tensions entre les deux espions, la mission se poursuit. Bond et Amasova se rendent par la suite dans un sous-marin américain, l'USS Wayne, lequel est bientôt avalé par l'un des pétroliers de la flotte de Stromberg, le Liparus. L'équipage du sous-marin capturé est contraint de se rendre aux hommes de Stromberg. Bond tente de cacher Amasova mais cette dernière est repérée et les deux sont immédiatement amenés à Stromberg qui leur parle alors de son plan qui consiste à détruire le monde afin de recréer une civilisation sous-marine. Alors que Bond est censé être emmené vers les prisonniers des trois sous-marins capturés, Anya, elle, est emmenée à bord du Liparus. Cependant, l'agent 007 réussit à s'échapper et même à libérer les marins capturés. Aussi, il lance un assaut et tous ensemble prennent le dessus sur l'équipage du Liparus. Hélas, la salle de contrôle est inexpugnable et Bond utilise donc une tête nucléaire afin de pouvoir s'y rendre et l'assaut continue. Une frégate américaine comprend que deux sous-marins vont bientôt se lancer chacun un missile qui détruiront les villes de New York et de Moscou ce qui plongera le monde dans une guerre nucléaire. Bond utilise alors le dispositif de pistage pour remplacer les coordonnées des cibles par celles des sous-marins, afin que les deux submersibles se détruisent mutuellement. Après leur succès, ils s'échappent dans l'USS Wayne où ils reçoivent l'ordre du Pentagone de détruire l'Atlantis. Cependant, Bond aimerait avoir l'occasion de secourir Anya avant et demande donc à ce qu'on lui laisse une heure pour qu'il puisse le faire. Il se rend ensuite sur l'Atlantis en jet-ski avant d'être confronté à Stromberg. Bond l'élimine au cours d'un duel armé avant de commencer à chercher Anya. Il est alors une nouvelle fois confronté à Requin mais finit par le propulser dans le bassin où se trouve le requin. Il quitte la salle, ignorant donc que son ennemi survit en tuant le poisson avec ses dents en acier. 007 secourt Amasova juste avant que l'USS Wayne ne commence à détruire l'Atlantis. Ils s'évadent de l'engin dans une sonde. Malgré tout ce qui s'est passé, Anya tient toujours à tuer Bond pour venger la mort de son amant mais finit par lui pardonner. Les services secrets britanniques et soviétiques les retrouvent ensuite ensemble en train de s'embrasser.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Sources et légendesVersion française (VF) sur AlloDoublage4

Lieux de l'action[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Genèse et écriture[modifier | modifier le code]

La pré-production du film a été retardée pendant près de trois ans. Harry Saltzman a dû céder ses parts de la société mère d'EONDanjaq, à United Artists. Des problèmes juridiques sur les droits d'adaptation des romans de Ian Fleming sont alors survenus5. Saltzman s'était lancé dans plusieurs autres entreprises douteuses et devait faire face à de gros problèmes financiers personnels et au cancer terminal de sa femme6

La production est également allongée en raison de la difficulté de trouver un réalisateur. Steven Spielberg, alors en pleine post-production des Dents de la mer, a été approché par les producteurs7Guy Hamilton était cependant le mieux placé pour réaliser le film7, mais il préféra saisir l'opportunité de réaliser Superman en 1978, finalement mis en scène par Richard Donner8. C'est finalement Lewis Gilbert, réalisateur de On ne vit que deux fois en 1967, qui est choisi.

Une fois ce problème résolu, EON se heurte au problème du scénario. À la suite d'un procès remporté par Kevin McClory face à Ian Fleming, le personnage de Blofeld ainsi que le SPECTRE ne peuvent être utilisés à l'écran. Albert R. Broccoli approche de nombreux auteurs pour travailler sur le script : Stirling SilliphantJohn LandisRonald HardyAnthony Burgess ou encore Derek Marlowe. Le producteur britannique de science-fiction Gerry Anderson a déclaré avoir fait une suggestion de thème (finalement utilisée pour Moonraker)9. Finalement, Richard Maibaum se charge du scénario en essayant d'y incorporer les idées des auteurs. Le scénario original de Maibaum faisait état d'une alliance de terroristes internationaux attaquant le QG du SPECTRE et voulant établir un Nouvel Ordre Mondial. Cependant, cela n'a pas été conservé. Lewis Gilbert intègre alors comme coscénariste l'écrivain Christopher Wood, grand fan des romans James BondLewis Gilbert souhaite se rapprocher des romans et de s'éloigner du style Sean ConneryAlbert R. Broccoli demande à Wood de créer un méchant avec des dents d'acier, inspiré par un personnage nommé Horror dans l'un des romans de Fleming10Kevin McClory menace de poursuivre en justice Albert R. Broccoli si Blofeld et le SPECTRE apparaissent dans le film, car il déclare en être le créateur. Toute référence à cela est alors supprimée. Le personnage de Karl Stromberg est alors créé pour se substituer à Blofeld

Choix des acteurs[modifier | modifier le code]

Tournage[modifier | modifier le code]

La Lotus Esprit amphibie

Le tournage débute le 31 août 1976 et se termine le 26 janvier 19772.

Scooter des mers

Les scènes sous-marines montrant la Lotus amphibie, les maquettes du pétrolier Liparus et de l'Atlantis (le repaire de Stromberg) ont été filmées à Nassau aux Bahamas11,12.

Les scènes d'intérieur se déroulant au Mojaba club, dans le bureau de M, dans le train ou sous la tente de Hussein ont été tournées aux studios Pinewood en Angleterre. Celles se déroulant à l'intérieur du pétrolier Liparus ont été tournées dans une nouvelle annexe de Pinewood spécialement créée pour l'occasion et inaugurée en 197612 .

La scène d'action à ski du pré-générique a été tournée en réalité sur le Mont Asgard en Terre de Baffin au Canada11,13.

Lieux de tournage
Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Drapeau de l'Égypte Égypte
Flag of Sardinia, Italy.svg Sardaigne
Drapeau de Malte Malte
Drapeau des Bahamas Bahamas
Drapeau du Japon Japon
Drapeau de la Suisse Suisse
Drapeau du Canada Canada

Lieux d'actions selon la chronologie du film

Bande originale[modifier | modifier le code]

The Spy Who Loved Me
Original Picture Score
Bande originale de Marvin Hamlisch
Sortie 1977
1998 (réédition CD)
2003 (réédition CD)
Enregistré Avril 1977
Durée 36:16
Genre Musique de filmdisco
Format Vinyle
CD (réédition)
Compositeur Marvin Hamlisch
Producteur Frank Collura (réédition)
Label EMI
Capitol (réédition)
Critique

Allmusic 4/5 étoiles14

Bandes originales James Bond

L'Homme au pistolet d'or
(1974)
Moonraker
(1979)

modifierConsultez la documentation du modèle

John Barry n'étant pas disponible pour des raisons obscures de taxation7Marvin Hamlisch compose la bande originale du film.

La chanson du générique d'entrée est Nobody Does It Better. Elle est composée par Marvin Hamlisch, écrite par Carole Bayer Sager et interprétée par Carly Simon. Elle sera un grand succès, et restera notamment numéro 2 pendant trois semaines au Billboard Hot 100 américain. Marvin Hamlisch avoue s'être inspiré de Mozart pour composer Nobody Does It Better. On peut d'ailleurs entendre l'air sur la corde ( 2ème mouvement de la suite orchestrale n°3 en ré majeur bwv 1068) de Jean-Sébastien Bach dans la scène ou l'assistante de Stromberg se fait dévorer par un requin. Ainsi que le Concerto pour piano nº 21 de Mozart dans la scène où l'Atlantis émerge, ainsi que d'autres morceaux classiques comme Nocturnes Op. 27 de Frédéric Chopin. Par ailleurs, le thème de Lawrence d'Arabie est joué quand James Bond et Anya Amasova marchent dans le désert. Un jeune assistant-monteur l'avait mis pour faire une blague et mais cela a finalement été retenu.

La bande originale de Hamlisch est assez marquée par la vague disco des années 1970Bond '77, version disco du James Bond Theme de Monty Norman, est notamment influencée par You Should Be Dancing des Bee Gees.

Liste des titres
  1. Nobody Does It Better (Main Title) – Carly Simon – 3:29
  2. Bond 77 – 4:19
  3. Ride to Atlantis – 3:28
  4. Mojave Club – 2:13
  5. Nobody Does It Better (Instrumentale) – 4:43
  6. Anya – 3:19
  7. The Tanker – 4:24
  8. The Pyramids – 1:37
  9. Eastern Lights – 3:22
  10. Conclusion – 1:37
  11. Nobody Does It Better (End Title) – Carly Simon – 3:25

Accueil[modifier | modifier le code]

Accueil critique[modifier | modifier le code]

L'Espion qui m'aimait
Score cumulé
SiteNote
Metacritic 55/10015
Rotten Tomatoes 79 %16
Compilation des critiques
PériodiqueNote

Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 79 % d'opinions favorables pour 52 critiques16. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 55100 pour 12 critiques15.

Novélisation[modifier | modifier le code]

L'Espion qui m'aimait a fait l'objet d'une novélisation par Christopher Wood, dont l'histoire reprend le scénario du film écrit par Richard Maibaum et lui-même. Elle a été publiée en 1977 au Royaume-Uni sous le titre de James Bond, The Spy Who Loved Me et en 1977 en France, avec une traduction de France-Marie Watkins chez Julliard puis Presses Pocket en 1978, sous le titre de L'espion qui m'aimait.

La novélisation et le film, bien que tous deux écrits par Wood, sont quelque peu différents. Dans cette dernière, le SMERSH est toujours actif et poursuit toujours James Bond (bien que Fleming dans ses romans indique qu'il s'est dissous) et apparaît dès le début, au cours de la séquence du « pré-générique » dans laquelle Bond s'échappe en ski sur le sommet de l'aiguille du Mort, une montagne près de la ville de Chamonix. La novélisation explique en détail comment Bond s'est retrouvé dans le chalet avec la fille (Martine Blanchaud). Après la mort mystérieuse de Fekesh, SMERSH apparaît encore une fois, et capture et torture Bond en branchant une génératrice sur ses parties génitales17, cette fois pour qu'il leur donne un microfilm contenant les plans d'un système pouvant localiser des sous-marins (Bond s'échappe après avoir tué ses deux interrogateurs). Les membres du SMERSH de la novélisation comprennent la Bond-girl Anya Amasova et son amant Sergei Borzov (tué par Bond lors de la poursuite en ski) ainsi que le colonel-général Nikitin, un personnage évoqué dans le roman Bons baisers de Russie, et qui remplace le personnage du général Gogol (absent de la novélisation) ; Nikitin est aussi moins « sympathique » que ce dernier.

D'autres différences incluent le méchant, Karl Stromberg, ici renommé en Sigmund Stromberg. Jaws (Requin, nommé « Jaws » dans la version française du roman) a sa propre « biographie » : ce dernier, de nationalité polonaise, s'appelle en réalité Zbigniew Krycsiwiki et a été gravement blessé lors de la répression par la police d'une manifestation en 1972. Il s'est ensuite fait implanter une mâchoire d'acier. Celle-ci étant reliée à ses cordes vocales, il lui est impossible de parler. La Lotus Esprit est quant à elle rouge (Requin se trouve dans l’hélicoptère durant la poursuite), il est expliqué comment 007 arrive à passer son Walther PPK dans les aéroports, Sheikh Hosein n'est pas dans la novélisation, Bond poursuit Stromberg sur le Liparus et Jaws reste fixé à l'aimant lorsque le requin arrive (dans le film, Bond le relâche dans le bassin).

[masquer]
Voir ce modèle.
L'Espion qui m'aimait
Précédé par Suivi par
Colonel Sun
Romans de James Bond
1977
James Bond 007 et le Moonraker

Distinctions[modifier | modifier le code]

Source : Internet Movie Database18

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Analyse[modifier | modifier le code]

Références à d'autres œuvres[modifier | modifier le code]

Erreur et incohérences[modifier | modifier le code]

Vers le milieu du film, lorsque la Lotus Esprit de James Bond saute dans l'eau, le dessous du véhicule est normal. Détail étrange, lorsque le plan change pour montrer la voiture sous l'eau, le dessous est devenu blanc et uni sans explication. Cela a été fait sûrement dans l'optique de donner un côté sous-marin hermétique à la Lotus dans la scène suivante. Le reste de la voiture se transforme aussi radicalement durant cette transition, des volets noirs apparaissant sur toutes les vitres pour dissimuler les plongeurs équipés qui manœuvraient la maquette.

31:40 minute du film. Lorsque James Bond entre dans le tombeau égyptien pour découvrir le corps sans vie de Fekkesh, il a un Beretta 1934 comme pistolet à la main. Lorsqu'il se retrouve agenouillé près du cadavre, il a son célèbre Walther PPK à la main.

Autour du film[modifier | modifier le code]

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afficherLes sections « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Citations », « Autour de... » , etc.peuvent être inopportunes dans les articles (octobre 2012).

Hommage[modifier | modifier le code]

Dans la version en ligne de Grand Theft Auto V, la Stromberg est une voiture sportive armée de mitrailleuses et de missiles pouvant se transformer en sous marin, à la manière de la Lotus Esprit du film. Son nom vient du méchant du film, Karl Stromberg.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Stanley Kubrick a été appelé, en secret, comme conseiller aux éclairages.
  2. ↑ Revenir plus haut en :a et b Business [archive]Internet Movie Database
  3. Dates de sortie [archive]Internet Movie Database
  4. « Fiche de doublage VF du film » [archive] sur AlloDoublage, consulté le 26 octobre 2012
  5. Smith 2002p. 141-142.
  6. (en) Harry Saltzman SHOWMAN - documentaire télévisé, MGM.
  7. ↑ Revenir plus haut en :a b c d e f et g (en) Anecdotes [archive]Internet Movie Database
  8. (en) Rubin Steven JayThe complete James Bond movie encyclopedia, Contemporary Books, 2003, 526 p. (ISBN 978-0-07-141246-9)p. 392
  9. Simon Archer et Stan NichollsGerry Anderson : The Authorised Biography, Legend Books, 1996, 228 p. (ISBN 0-09-978141-7)p. 149–150
  10. (en) Inside the Spy Who Loved MeL'Espion qui m'aimait Ultimate Edition DVD, Disque 2
  11. ↑ Revenir plus haut en :a b et c Lieux de tournage [archive]Internet Movie Database
  12. ↑ Revenir plus haut en :a et b Commentaires des galeries de photographies, bonus interactif de l'édition DVD L'Espion qui m'aimait, MGM, 2001
  13. Fascicule d'accompagnement de l'édition DVD L'Espion qui m'aimait, MGM, 2001
  14. (en) Review [archive]Allmusic
  15. ↑ Revenir plus haut en :a et b (en) « L'Espion qui m'aimait Reviews » [archive], sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le 13 mai 2020).
  16. ↑ Revenir plus haut en :a et b (en) « L'Espion qui m'aimait (1977) » [archive], sur Rotten TomatoesFandango Media(consulté le 13 mai 2020).
  17. Wood, Christopher, James Bond, The Spy Who Loved MeGlidrose Publications, 1977(ISBN 0-446-84544-2)

    « The more so when one examined the apparatus that the second man was connecting to a heavy-duty battery. It was a small metal box with an on/off switch and a glass panel showing a red calibrated dial. There was also a lever, currently resting at the top of its vertical slot and, most sinister of all, two long thin wires leading away from the side of the box and ending in metal claws. [...] The man did not reward Bond’s obscenity with a slap across the face. He was a professional and he could afford to conserve his energy. An electric current passed through the genitals was a million times more effective than beating a man’s face to a bloody pulp. (Chapitre 10) »

  18. (en) Awards [archive]Internet Movie Database
  19. James Bond, l'espion qui aimait les montres, édité chez Le Cherche midi, 2015.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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(1979)